Veille 2.1

OA - Liste OA - Liste

Sélection du moment:


Langue(3/3)
Médias(8/8)
Résultats pour:
focusbiodiversité focusclimat

mai 2024

Les solutions proposées par l’institution financière sont toutefois jugées insuffisantes pour aller vers un modèle durable et résilient.
Les aires de répartition de certaines espèces devraient fortement augmenter d’ici 2070, selon une étude.
Une infographie récente montre les pays ayant perdu le plus de couverture forestière depuis environ deux décennies.

avril 2024

Les activités humaines sont responsables du déclin de la biodiversité observé par les scientifiques depuis plusieurs décennies. Jusqu’ici, c’est essentiellement le changement d’affectation des sols qui nuit à la nature. Mais demain, les effets du réchauffement climatique pourraient prendre le pas.
2023 enregistre une mortalité catastrophique chez les manchots empereurs en raison de la fonte record de la banquise. Si les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter, l’espèce pourrait être quasi éradiquée d’ici 2100.
En montagne, les températures diminuent avec l’altitude. Le réchauffement climatique entraine la migration de la flore et de la faune en altitude afin d’y trouver un climat plus clément. Le phénomène est connu et documenté, mais une étude récente, publiée dans la revue Nature, apporte un nouvel éclairage à ces deux phénomènes. Leurs travaux mettent en lumière la vulnérabilité des espèces des sommets à la rapidité des changements de température. En effet, selon les chercheurs, la vitesse de migration des espèces est plus lente. Le CNRS, dont un scientifique a pris part à ces travaux conduits par une équipe taiwanaise, écrit : « plus la vitesse de migration verticale des isothermes est élevée, supérieure à 5 m/an, et plus les chances sont faibles pour les espèces d’ajuster leurs répartitions en altitude, suggérant un retard de migration. » La migration vers le haut de certains isothermes de montagne peut atteindre les 8 mètres par an. Dans l’hémisphère nord, l’isotherme augmente de 6,29 mètres par an au niveau
Malgré les menaces que l’humanité fait peser sur son environnement, le gouvernement tient des discours déconnectés du réel et pratique la course de lenteur, fustige un collectif de 260 scientifiques, dont le climatologue Jean Jouzel, dans une tribune au « Monde ».
Raies manta, requins-bouledogues et autres espèces marines sont menacées par un phénomène peu connu, l’“upwelling”, renforcé par le dérèglement climatique, révèle une étude.
L'épisode de blanchissement actuel de la Grande Barrière de corail est le pire que l'Australie ait jamais connu, a annoncé mercredi l'Autorité du parc marin qui la gère. Le réchauffement climatique est pointé du doigt.
Pour la deuxième fois en dix ans, tous les coraux de la planète connaissent un épisode massif de blanchissement du fait de températures océaniques extrêmes, alerte lundi l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).
Comment 260 animaux marins en Afrique du Sud ont été tués en 2021 ? Une remontée d’eau froide des fonds océaniques, répond une étude scientifiques qui pointe la hausse de la fréquence et de l’intensité du phénomène.
Un afflux inhabituel de méduses est en train de modifier le paysage des côtes vénézuéliennes, désertées par les touristes et les proies habituelles des pêcheurs. Certains experts assurent que cette invasion pourrait être la conséquence de l’augmentation des températures marines et de la diminution de la population de leurs prédateurs naturels.
Le Réseau Action Climat distribue les bons et mauvais points. Le 9 avril, la fédération d’associations environnementales a publié un « décryptage » des votes des eurodéputés français durant ce mandat.
Pour préserver l’environnement, tant en matière de climat que de biodiversité, des changements radicaux de nos modes de vie s’imposent. On peut aussi les voir comme des changements transformateurs.
Écosystèmes terrestres et marins, calottes glaciaires, biodiversité, cours d’eau, océan… Sur notre planète, tout est connecté. Mais d’après un rapport récent, les dynamiques de ces différents systèmes seraient déstabilisées par les activités humaines, et ce jusqu’à franchir des points de non-retour. Explications.